Arrivée de Abby Linley à Bristol !

Après une presque 8h d’avion, Abby avait quitté l’aéroport et pris le train direction le centre-ville de Bristol. Elle descendit du train avec toutes ses valises, se retrouvant seule sur le quai de la gare un peu paumé. Elle regarda autour d’elle les gens s’activait et resta immobile ne sachant que faire. Puis elle tourna son regard sur sa montre, vit l’heure et fit de grand yeux.

- Déjà 18h ! se dit-elle effarée

Elle prit donc ses valises qu’elle avait posées auparavant sur le sol et emboîta le pas rapidement, ses bouclettes blondes rebondissaient sur ses épaules à chaque pas qu’elle faisait. Elle leva la tête devant les grands gratte-ciel de Bristol qui s’illuminait sous ses yeux. Cette ville était celle plus petite que New-York mais elle avait un charme fou. La New-Yorkaise s’aventurait dans sa nouvelle ville, les yeux rivés sur les magasins. Elle s’arrêta un instant devant une boutique et y contempla la vitrine. Elle passa dans une ruelle sombre, se sentant mal ne voyant pas la fin de cette ruelle. Elle marchait quand Abby vu la lumière du jour, elle sortit de cette ruelle sombre et froide pour arrivée a la ville éclairer et chaude. Elle marchait sur le trottoir, le bruit des voitures dans les oreilles, elle leva la tête et regretta une seconde d’avoir quittée New-York car Abby arrivée dans cette ville sans rien, juste un peu d’argent mais aucun logement rien. Elle soupira un long moment et leva la tête pour admirer une grande bâtisse. Elle se remit en marche tête baissée perdu dans ses pensées, elle regrettait tout ce qui c'était passer ces derniers temps avec soi-disant sa meilleure amie. * C'était pour elle que Eden m'avait quitté et a cause d'elle que je me retrouvais ici * pensa t'elle fortement.

- Pourquoi moi ? se répéta-t-elle

Elle marchait silencieuse à présent, le froid venant rosir ses joues et le vent caressa ses cheveux glacialement. La jeune femme frissonna sans regarder devant quand elle percuta de plein fouet une personne.

Ramon ne travaillait pas ce soir, ce qui était une chose extrêmement rare compte tenu de son job de barmaid. Lorsque ces soirées là arrivaient il ne festoyait pas: après tout, il passait tous les soirs de la semaine ou presque dans le milieu de la fête. Alors il se promenait, comme si c'était les rues de Belfast qui roulaient sous ses pas, avec au bras son éternelle Sirianna, qui sait ? Mais aujourd'hui, il était à Bristol, et sans elle. Depuis presque huit ans.

Je m'achète un chinois à emporter ou je continue ma route ?

Mais Ramon n'eut pas le temps de répondre à cette question intérieure que sa route croisa celle d'une charmante jeune femme, le percutant de plein fouet. Ses valises et son sac tombèrent sur le trottoir mais heureusement pour elle Ramon eut le réflex de la maintenir debout.

- Excusez moi tout va bien ?

Ramassant les valises de la jeune femme afin de les lui restituer, Ramon afficha son plus beau sourire avant d'observer une chose: elle était totalement paumée.

- Nouvelle à Bristol, non ?

Abby eut l’impression de tomber quand une force la maintenu debout, se retourna elle vit juste la main du jeune homme la retenir. Elle souleva la tête, le rouge lui monter aux joues.

- Je… pardonnais moi mais oui je suis nouvelle à Bristol et pour tout vous dire, je ne sais pas où aller. Dit-elle confuse

Puis elle s’arrêta et observe cet inconnu. Il était grand, baraqué, brun, de petits yeux marron charbonneux, il avait une belle allure. * Un charmant jeune homme * pensa t’elle. Ce jeune homme en question lui redonna ses bagages qu’elle prit en le remerciant. La jeune femme regarda autour d’elle, absolument perdu. Les voitures circulées, les gens s’activaient de part et d’autre.

- Merci de m’avoir retenu et de m’avoir redonné mes bagages. Lui dit-elle en souriant. Je vais vous laisser faut que je trouve un endroit où dormir pour cette nuit. Lui commenta-t-elle. Oh… je suis désolée de vous importuner avec cela. Rajouta-t-elle avant de se taire.

La nuit tomba peu à peu sur Bristol et le froid se fit ressentir. Abby frissonna en emmitouflant sa bouche dans son écharpe. Abby se demanda ce qu’elle fessait dans une grande ville, sans travail, sans logement. Elle soupira et passe derrière le jeune en lui adressant un de ses plus beaux sourires et commença à partir quand quelque chose la retenait.

Ramon regarda son interlocutrice, abandonnée dans cette ville qui semblait être un vrai labyrinthe pour elle. Elle se trouvait plus ou moins dans la même situation que lui lorsqu'il était arrivé ici durant sa 17eme année: paumé, seul par le froid de décembre avec quelques bagages. Heureusement pour lui, Ramon avait rapidement trouvé un appartement et avait pu se faire livrer ses quelques cartons que son père lui envoya d'Irlande, mais ce fut tout. Il était tout de même resté une semaine entière dans un squatte pour sans-abris, puis dans un refuge pour jeune. Il n'avait jamais eu personne pour l'aider à s'en sortir, peut-être était-il temps de remédier aux problèmes de personnes qui vivaient ce que lui même avait enduré. Ramon hésita puis décida de retenir la jeune fille, partant déjà.

- Pour être passé aussi par là, je peux vous dire que vous ne trouverez pas rapidement d'endroit où dormir.

Si elle aime manger chinois je l'embarque.

Ramon n'avait absolument aucune idée derrière la tête, mais la jeune blonde pouvait être sur sa réserve, ce qui pouvait paraître normal: ils étaient totalement inconnus l'un pour l'autre.

- Ma voiture est garée un peu plus loin, et je comptais aller m'acheter à manger avant de retourner chez moi. Si vous ne trouvez rien, appelez à ce numéro.

Ramon sortit une ticket de caisse d'une supérette et y inscrivit, à l'aide d'un stylo bic du fond de sa poche, son numéro de portable. Ce n'était absolument pas une manière détournée de faire des avances à la ravissante blonde -bien qu'elle était sublime- mais plutôt une opportunité à celle ci de partir sur de bonnes bases à Bristol.

- Ça peut paraître étrange, je le sais, mais lorsque je suis arrivé ici j'aurais tellement aimé que quelqu'un -même un inconnu- me propose un toit et une base stable pour quelques temps. Donc reconsidérez mon numéro si vous ne trouvez rien ce soir, demain, ou dans une semaine.

Adressant un clin d'oeil amical à la jeune femme, Ramon continua sa route, cherchant du regard sa voiture qu'il ne tarda pas à retrouver, garée en bord de route à 100 mètres de là. Allait-elle directement rappliquer, jeter le numéro, rappeler dans quelques heures ?

Abby se retourna et vit le jeune homme la retenir, elle baissa les yeux. Le jeune inconnu lui expliqua son histoire similaire à la sienne. Elle eut un bref rire avec tant de points communs.

- Je… ne sais absolument pas. Lui dit-elle. Je pense cette nuit dormir sur un banc ou sous un abri de bus. Ajouta-t-elle.

L’homme compréhensible par ce qui lui arrivée, sortit un ticket de superette de sa poche et un stylo bic noir. Puis il écrivit de sa belle écriture son numéro de portable, puis tendit le bout de papier à la blondinette. Elle le prit en lui souriant avec tendresse.

- Merci. Répondit-elle.

Puis il tourna les talons et partis en direction de sa voiture, Abby resta quelque secondes sur place, regardant le jeune inconnu s’éloigner. Elle tourna les talons à son tour en mettant le papier précieusement dans sa bouche. Grâce à ce charmant jeune homme, la jeune femme se rendait enfin compte que des gens biens existaient sur terre et elle retrouva soudainement le sourire. Abby s’aventura dans la ville par grand froid, au bout de plusieurs heures n’ayant toujours rien trouvée. Elle était fatiguée et affamée, elle se résigna donc à déranger ce bel inconnu. La jeune femme sortit le papier de sa poche et pris son portable, puis composa le numéro et attend que son interlocuteur décroche.

Ramon avait rapidement rejoint sa voiture, une new beetle noire qu'il avait acheté d'occasion mais qu'il entretenait avec soin: c'était sa première voiture qu'il s'était acheté pour son vingtième anniversaire et sa folle compagnonne de route. Il tarda pà rejoindre son traiteur chinois préféré, s'étant garé comme de coutume sur le petit parking en bordure du petit restaurant. La circulation s'était révélée houleuse et compliquée mais en une demi heure tout de même, il laissa son ventre le dicter plutôt que sa raison.

- Un riz cantonnais avec poulet au curie, un jus de grenade et deux beignets à l'ananas s'il te plait !

- A emporter, comme toujours ?

La question de son ami asiatique était totalement rhétorique, ce qui le força à préparer la commande de l'irlandais qui lui pensait encore à cette jolie blonde perdue en plein Bristol.
Dormir sur un banc ou un abris de bus... mauvais plan.

La jeune homme resta quelques instants dans sa voiture, toisant la nourriture qu'il venait d'acheter: non, il n'avait plus faim. Roulant où bon lui semblait durant deux heures environ, le blondinet réfléchissait, déprimait un peu peut-être, jusqu'à ce qu'on l'appelle: numéro inconnu.

- Allo oui ?

Il avait décroché. Abby pris une grande bouffée d’air.

- C’est Abby Linley ou la petite blonde percuté dans la rue. Dit t’elle gênée avec un petit rire.

Abby s’assit sur le banc de l’arrêt de bus où elle était en marquant une petite pause le temps de regarder autour d’elle. Elle vit un groupe de jeune pas très nette s’approcher, ravalant sa salive.

- Je suis désolée de vous appelée mais je suis sous un arrêt de bus et un groupe de jeune pas super net arrive vers moi. Poursuiva-t-elle la peur au ventre.

Ses paroles avait était dites avec une voix tremblante et effrayer. Un des jeunes hommes était à deux mètre d’elle, il la fixait pendant un long moment. Abby ne disait plus rien, elle ne pouvait, elle se recroquevilla terroriser quand ils commencèrent a l’encerclé. Son téléphone lui tomba de la main, se brisant violemment contre le sol et elle prit ses sacs contre elle sans jamais les regarder dans les yeux. Un des jeunes hommes voulut lui offrir à boire mais elle refusa l’invitation. Le plus ivre de tous commença à s’approcher et lui embrasser la joue. Abby se défendit et réussit à y échapper. Elle tremblait de peur, le même jeune homme vint la prendre dans ses bras par surprise. La jeune femme se débattait en criant mais rien n’y fessait, personne n’entendait ses cris. Au bout d'un moment la jeune femme se laissa tomber a terre, épuiser. Les hommes se remirent a l'encerclée, jamais Abby n'avait eu aussi peur. Elle n'arrivait surement pas a vivre dans cette ville. Elle qui venait de New-York, ville bourgeoise ou ce genre d'humains n'existait pas. Etant fille de riche elle ne connaissait pas sa. Abby reprit vite ses esprits et les regarda.

Ramon fut tout de suite interloqué par les paroles de son interlocutrice. Se garant rapidement en double file sur un des grands boulevards de la ville, il prit bien en compte tout ce qu'elle lui disait, la jolie blonde semblant effrayée. Elle raccrocha brutalement. Était-ce une blague ?! Le Donaghan commença à avoir peur pour la prénommée Abby.
S'il faut que je farfouille tous les arrêts de bus de Bristol... je vais déjà aller voir à celui près du pub, il y a toujours des gens étranges par là-bas. Que faire d'autre ?

Ramon savait qu'il avait très peu de chance de la trouver là-bas, mais il ne voyait pas comment faire autrement, à moins de suivre le réseau de bus remontant jusqu'à là-bas, ce qu'il entreprit. Mais par chance, ce ne fut pas à l'arrêt du pub mais celui près d'une épicerie de fortune qu'il vit, au loin, la dénommée Abby. Ramon accéléra brutalement vers les agresseurs, désorientés par cette attaque soudaine, ceux ci se reculant de plusieurs mètres.

- MONTE ABBY, NE PERDONS PAS DE TEMPS.

En effet les jeunes gens ivres entreprenaient déjà de lancer des cailloux sur la voiture du Donaghan, réussissant même à fissurer le pare-brise de sa voiture. Qu'elle chance quasi-romanesque qu'il avait eu en la retrouvant au bout de dix minutes à peine ! Une chance de cocu, comme lui répétait autrefois sa mère.

Abby entendit une voiture arriver assez vite, elle eut à peine tourné la tête qu’elle reconnut la voiture du beau brun. La jeune femme eu un petit sourire en voyant ses agresseurs reculer devant la voiture. La douce et rauque voix du jeune homme, lui ordonna de monter dans la voiture, ce qu’elle fit sans rechigner. Au moment où elle venait de rentrer dedans, un caillou vint heurter le pare-brise, la blondinette tourna la tête en l’enfouissant dans son bras pour ce protégé puis voyant que rien ne s’était passé elle reprit sa posture initiale. Le beau ténébreux déguerpit à toute vitesse.

- M… merci. Lui dit-elle encore sous le choc. Je vous dois une fière chandelle. Poursuiva t’elle.

Elle passa sa main dans ses cheveux blonds, soyeux et les remua un peu, l’odeur de camomille de ses cheveux s’éparpilla dans la voiture. La jeune femme enfouit ses mains dans ses manches et regarda par la fenêtre la route. Le garçon n’avait toujours pas ouvert la bouche depuis un bon moment. * Je parle beaucoup * pensa t’elle. * Le pauvre, il est si gentil.* Ajouta t’elle. Puis elle fixa le garçon, se sentant rassurée par sa présence et ne se dispensa pas de remarque sa conduite souple et fluide. Elle l'observa un long moment perdu dans ses pensées quand la voix du jeune homme vint tout chambouler. Elle secoua doucement ses boucles qui partirent de droite a gauche. Puis elle lui fit son plus beau sourire.

Ramon ne disait rien et roulait comme à son habitude, plutôt vite, bien que sa conduite fut souple et avertie. Il ne dit mot, espérant au fond de lui que la jeune femme se rendait compte à quel point la scène qui venait de se dérouler avait été théatrale, voir même surréaliste. Cette naïveté agaçait même un peu de Donaghan, qui, bien qu'étant dévoué aux autres et d'une gentillesse sans égale, légèrement grognon.

- Je suppose que vous ne voyez aucune objection à venir passer la nuit chez moi. En plus c'est votre jour de chance, c'est chinois ce soir.

Le Donaghan tourna rapidement sa tête vers son interlocutrice qui lui souriait. Oui, une sacrée chanceuse que Ramon soit passé exactement là où elle se trouvait avant qu'il ne soit trop tard. On verra plus tard pour les présentations, il faut déjà qu'elle remette ses idées en place. L'image sordide qu'elle dit avoir de Bristol maintenant...

Roulant toujours en direction de son appartement, Ramon ne changea pas sa tenue de route, allumant tout de même la radio afin d'égayer cette atmosphère frigide.

Elle souriait d’un sourire d’ange quand le jeune homme lui proposa de passer la nuit chez lui. Elle le regarda et baissa les yeux.

- Euh… c’est que je ne veux pas déranger, je crois que je vous ai assez embêté pour aujourd’hui. Lui répond-elle gênée.

Abby se sentait mal à l’aise d’embêter cet inconnu. La boule au ventre remonta dans la gorge et redescend en moins d’une vingtaine de secondes. Oubliant qu’elle était assise sur un siège dans une voiture, elle se souvenait juste qu’elle était un charmant jeune homme, qui venait de lui proposer la nuit chez lui. Devait-elle accepter et être en sécurité ? Ou, refusée au risque de mourir cette nuit ? La question ne se pose normalement pas mais la jeune femme se la posait, elle ne voulait donc pas déranger ce jeune homme dans son intimité. Qui pensait surement que ce n’était qu’une gamine inconsciente de ce qu’il venait ou pouvait se passé. Elle tourna ses yeux vers la fenêtre où la nuit noire était en place puis une petite odeur de riz cantonnais, vint chatouillais ses narines. La jeune femme se retourna et vit la boite de riz cantonnais, posée sur le siège arrière. Ele tourna son regard vers le visage du garcon et pris surement la mauvaise décision mais elle tenait tellement à sa vie ses derniers temps.

- J'... j'acceptes votre invitation avec plaisir. Lui affirma t'elle timidement.

Ramon acquiesça d'un signe de tête. La nourriture chinoise sur les sièges arrières devait être froide, mais tant pis: à quoi servirait le micro-ondes sinon ? De petits bruits de bouteilles s'entrechoquant étaient à l'œuvre dans le coffre de la voiture. Une commande de Tony pour dans deux semaines, car oui, Ramon revendait de l'alcool pour les fêtes de ses amis: c'était histoire de se faire un peu d'argent en dehors de son job de barmaid.

- Tu ne m'as pas l'air très anglaise si je peux me permettre. Tu viens d'où ?

Ramon avait laché sa réplique d'une traite, à la fin du refrain de la chanson passant à la radio. Il fallait dire que la conduite de Ramon l'intriguait, surtout le côé du volant:était-elle américaine, européenne ? Peu importait: ils arrivaient enfin en bas de l'immeuble du Donaghan, ou la soirée ne pouvait que bien se finir.


Hors-RPG: Il faudrait relancer un rpg dans mon appartement , dans le quartier Ouest de la ville. ;)

Le garçon lui demanda son identité a la fin du refrain de la chanson qui passait à la radio.

- Oui, je suis Américaine. Je viens de New-York un peu sur un coup de tête. Lui répondit-elle en faisant une grimace.

La voiture s’arrêta nette. Abby tourna la tête et vit l’immeuble du jeune homme. Un grand gratte-ciel dont on ne voyait pas le bout, il était assez récent en bonne état. Elle sourit et enlaça ses doigts nerveusement en fixant l’immeuble. Nerveuse ? Pourquoi était-elle nerveuse ? A vrai dire elle n’en savait rien. Elle se retourna rapidement vers le charmant jeune homme en lui tendant sa main.

- J’… j’ai oublié de me présenter. Grimaça-t-elle. Abby Linley. Enchanté ! Lui dit-elle en souriant doucement.

Elle baissa ses yeux sur la main puis les reposa sur le jeune homme, voyant qu’il ne réagissait pas elle rangea sa main dans sa manche. Etait t’elle y aller trop vite ? L’avait t’il choquer ? Elle n’en savait rien mais ne tarderais surement pas à le savoir. Elle fixa intensivement le jeune homme sans pipait un mot. Elle se sentait gênée et nerveuse. Une nervosité étrange. Etait-ce la présence de ce jeune homme ? La petite New-Yorkaise pleine de vie était comme éteinte. Elle ne comprennait pas pourquoi ce serait la présence de ce jeune homme elle en avait beaucoup à New-York. Ce qui devait surement lui faire cet effet c'est que cet apollon ressemble beaucoup à Eden. * Eden c'est son portrait tout craché * pensa t'elle. Eden, la raison pour laquelle elle se retrouver à Bristol dans la voiture d'un étranger qui lui a sauver la vie et qui a une impressionante ressemble avec son ex. Elle pris une goulée d'air en continuant de fixer l'homme.

Hors-RPG : Oui, bien sur. Et bien répond a sa partie Ouest et puis je continuerais. ( ;